Traité essentiel de l’histoire économique, fondateur des théories Input-Output en économie.
Wassily Leontief – Input-Output Economics-Oxford University Press, USA (1986)
Traité essentiel de l’histoire économique, fondateur des théories Input-Output en économie.
Wassily Leontief – Input-Output Economics-Oxford University Press, USA (1986)
Bibliothèque La Zermi
[ARTICLE]
Article fondateur de la Neue Marx Lektüre, disponible sur le site palim-psao. Le lien vers le pdf.
Voici le lien vers Karl Marx, Jean-Pierre Lefebvre (transl.) – Le Capital-Quadrige _ PUF (1993)
Il est possible de procéder à des extractions de texte en txt depuis ce pdf, ainsi que d’y faire des recherches.
Cet article de Robert Kurz est discuté par Michael Heinrich dans sa contribution « Effondrement du capitalisme. Krisis et la crise ». Il est actuellement disponible sur la revue Exit!.
Strukturelle Schranken der Kapitalverwertung, Kasinokapitalismus und globale Finanzkrise
1. Realkapital und zinstragendes Kapital
Zu den vielen schizoiden Strukturen der modernen Welt gehört auch das widersprüchliche Verhältnis von Arbeit und Geld. Arbeit als abstrakte Entäußerung menschlicher Energie im Prozeß betriebswirtschaftlicher Rationalität und Geld als die Erscheinungsform des dadurch erzeugten ökonomischen »Werts« (d.h. einer fetischistischen Phantasmagorie des objektivierten gesellschaftlichen Bewußtseins) sind die beiden Seiten derselben Medaille. Geld repräsentiert oder »ist« im kapitalistischen Selbstzweck einer unaufhörlich gesteigerten Akkumulation dieses Fetisch-Mediums nichts anderes als »tote Arbeit«, real abstraktifiziert zur dinglichen Gestalt. Der menschliche »Stoffwechselprozeß mit der Natur« (Marx) ist gerade dadurch zur abstrakten, an sich sinnlosen Entäußerung von Arbeitskraft geworden, daß sich in der potenzierten Fetischform des Kapitals das Geld dem menschlichen Aktor gegenüber verselbständigt hat: Nicht der menschliche Bedürfniszweck steuert die Verausgabung von Energie, sondern umgekehrt hat sich die dinglich verselbständigte »tote« Form der verausgabten Energie die Befriedigung der menschlichen Bedürfniszwecke untergeordnet. Die Naturbeziehung ebenso wie die gesellschaftlichen Beziehungen sind zu bloßen Durchlaufprozessen der »Verwertung von Geld« geworden.
Dans la dernière décennie de sa vie, Karl Marx entame un vaste travail de recherche sur les sociétés pré-capitalistes, à travers notamment la lecture des grands anthropologues et historiens de son siècle tel Lewis Morgan.
« Le dernier Marx » présente, pour la première fois en français, des traductions d’extraits des notes prises lors de ces recherches, ainsi que les textes les plus importants écrits à ce sujet par différents auteurs. On y découvre un Marx toujours passionné et prêt à remettre en cause certains présupposés déterministes et « eurocentriques » de sa pensée, loin de la figure monolithique forgée par ses épigones.
Comme au siècle dernier on a redécouvert le jeune Marx, sa fougue et sa poésie combattante, il faut redécouvrir le « dernier Marx », meilleur remède à toutes les orthodoxies qu’on a construit en son nom mais contre lui.
Critique de Michael Heinrich par « l’école keynésienne »:
Michael Heinrich’s recent Monthly Review article claims that the law of the tendential fall in the rate of profit (LTFRP) was not proved by Marx and cannot be proved. Heinrich also argues that Marx had doubts about the law and that, for this and other other reasons, his theory of capitalist economic crisis was only provisional and more or less in continual flux.
This response shows that Heinrich’s elementary misunderstanding of the law –– his belief that it is meant to predict what must inevitably happen rather than to explain what does happen –– is the source of his charge that it is unproved. It then shows that a simple misreading of Marx’s text lies at the basis of Heinrich’s claim that the simplest version of the LTFRP, “the law as such,” is a failure. Marx’s argument that increases in the rate of surplus-value cannot “cancel” the fall in the rate of profit is then defended against Heinrich’s attempt to refute it. Finally, the paper presents evidence that Marx was indeed convinced that the LTFRP is correct and that he regarded the crisis theory of volume 3 of Capital as finished in a theoretical sense.
Vous trouverez un texte passionnant sur l’Accumulation du capital de Rosa Luxemburg écrit par David Harvey:
Le site du journal « Links » a publié une synthèse sur la base d’une réflexion menée par Mike Treen des idées produites sur le blog A Critique of Crisis Theory tenu par Sam Williams.
Dans cet article, Sam Williams expose la première partie de sa critique de l’article de Michael Heinrich paru dans la Monthly Review paru en 2013. Il y amorce une critique plus globale de la contribution de Michael Heinrich.
The April 2013 edition of Monthly Review published an article entitled “Crisis Theory, the Law of the Tendency of the Profit Rate to Fall, and Marx’s Studies in the 1870s” by German Marxist Michael Heinrich. This is the same issue that published John Bellamy Foster’s “Marx, Kalecki, and Socialist Strategy,” which I examined the month before last.
Michael Heinrich teaches economics in Berlin and is the managing editor of “PROKLA A Journal for Critical Science.” His “new reading” of Marx apparently dominates the study of Marx in German universities.
The publication of Heinrich’s article brought about a wave of criticisms on the Internet from Marxists such as Michael Roberts who base their crisis theory precisely on Marx’s law of the “tendency of the rate of profit to fall,” or TRPF for short.
LA REVOLUTION ÉCLATE
En novembre 1918, le front allemand s’effondra. Les soldats désertèrent par milliers. Toute la machine de guerre craquait. Néanmoins, à Kiel, les officiers de la flotte décidèrent de livrer une dernière bataille : pour sauver l’honneur. Alors, les marins refusèrent de servir. Ce n’était pas leur premier soulèvement, mais les tentatives précédentes avaient été réprimées par les balles et les bonnes paroles. Cette fois-ci, il n’y avait plus d’obstacle immédiat ; le drapeau rouge monta sur un navire de guerre, puis sur les autres. Les marins élurent des délégués qui formèrent un Conseil.
« Backhaus et Reichelt, furent de ceux à partir de 1968, qui élaborèrent et fondèrent une interprétation logique de la théorie marxienne de la valeur, une interprétation logique des déterminations les plus abstraites du capital contenues dans le Marx de la maturité. Car Marx ne part pas du matériel historico-empirique du capitalisme (sa genèse historique), mais de sa charpente logique déjà déployée, quand le capitalisme fonctionne déjà sur ses propres bases. Marx dans son oeuvre développe une théorisation où les rapports qu’entretiennent les catégories critiques (marchandise, travail abstrait, capital…) ne peuvent pas se baser sur leur chronologie historique. » Voir pour plus de précisions l’article de Clément Homs sur palim-psao, sur l’article « Dialectique de la forme-valeur ».
Lien vers le pdf incluant la plupart des articles de Hans-Georg Backhaus.
Même si nous n’en partageons pas toutes les critique, cet article permet d’avoir un aperçu assez complet sur un mouvement important en Allemagne, mais qui n’a connu presque aucun relais en France, sinon par ses épigones de la « Critique de la valeur », dont certains de ses membres proviennent de la Neue Marx-Lektüre. Il conviendrait de s’interroger sur cette lacune dans le paysage théorique français et de la combler.
This paper examines one of the many Judeo-Christian allu-
sions in Marx’s corpus, his citations of Dante in the “1859
Preface” and the preface to the first edition of Capital. It demon-
strates that Marx borrowed key features of Dante’s Inferno for
his own critique of political economy, and that Marx thereby
situated his critical journey through economics as the heir to
the Western tradition of the katabasis, the formative descent
into the underworld. This undermines the dichotomization of
religion and science prevalent in Marxology, and suggests that
Marx must be read outside both of these traditional categories.
Marx in Hell: The Critique of Political Economy as Katabasis en pdf
Nicolas Dessaux
Transcription de l’intervention de Nicolas Dessaux à Lyon le 18 mars dernier, où l’association Table rase l’avait invité. pdf non corrigé]
Marx, le Capital et les crises économiques
On m’a confié la difficile tâche de parler du Capital de Marx et des éléments de compréhension et réflexion qu’il offre face aux crises du capitalisme, question d’actualité s’il en est. Étant donné l’immensité des débats qui ont traversé le marxisme, au sens large, depuis plus d’un siècle, sur cette question, de débats qui se poursuivent toujours et que chaque nouvelle crise relance, je me dois de poser quelques bases qui me paraissent essentielles pour aborder la question, théoriquement et politiquement.
Traduction d’un extrait de « Wie das Marxsche Kapital lesen? » (Comment lire le Capital de Marx?) vol. 2, de Michael Heinrich. Le volume 1 portant sur les chapitres 1 et 2 est paru aux éditions Smolny.
Comme indiqué à la fin du 4e chapitre, il est maintenant question du procès de production. La table des matières montre bien que la production n’est pas uniquement le thème de la troisième section, mais aussi de la quatrième et de la cinquième. Il n’est pas immédiatement expliqué ce qui est entendu par « survaleur absolue ». Cela n’aura lieu que dans le 10e chapitre, c’est-à-dire dans le quatrième paragraphe.
Contribution à la pédagogie inférée à partir de l’anthropologie de Marx (IA, l’homme totalement développé), mais aussi sur des indications éparses, comme 10e thèse du Manifeste (réunion de l’éducation et de la production), éducation polytechnique du tome 2 du Capital.
Wittig et Anweiler (Polytechnische Bildung). Pour Dietrich, l’apport spécifique de Marx est cette interaction entre production et éducation
Dans la Critique du programme de Gotha la suppression du travail des enfants qualifié de réactionnaire, parce qu’il est bon de combiner « de bonne heure le travail productif avec l’instruction est un des moyens des plus puissants de transformation de la société actuelle ». Evidemment, on voit ici valeur positive accordée au travail, une valeur éducative. La question : est-il un moment nécessaire à arriver à cet autre travail, « l’activité émancipatrice » des Manuscrits de 18441 ? Problème d’une conception qui veut des étapes.
Le travail le plus conséquent qui ait été fait aujourd’hui sur la question de l’éducation chez Marx a été réalisé par Robin Small. Ce dernier a notamment recensé tous les écrits de Marx sur l’éducation1. Partant des Thèses sur Feuerbach, Small constate la duplicité de la tâche qui revient au révolutionnaire : comprendre et s’engager (p.2).
Marx est à considérer comme un « éducateur », parce qu’il écrivait pour des gens qui cherchaient à comprendre ce qui n’allait pas dans la société, et la manière de la changer. Il n’a rien écrit exclusivement sur l’éducation, il n’a pas été professeur ou chercheur à l’université. En tant qu’il critiquait la société dans son ensemble, tout ce qui touche à l’éducation doit être considéré au prisme de cette approche. Pour Small, en plus d’une compréhension de l’éducation au moment où Marx vivait, nous avons « un plan détaillé pour l’éducation du futur » (p.2)
Extrait du livre de Michael Heinrich, Kritik der politischen Ökonomie. Eine Einführung (Critique de l’économie politique. Une introduction), chapitre 10.3. Le chapitre 10 dont cet extrait est la troisième et dernière partie, s’appelle Le fétichisme des rapports bourgeois.
De nombreux courants du marxisme traditionnel ont compris l’analyse de Marx comme étant avant tout une analyse de classe et de la lutte entre bourgeoisie et prolétariat. Pour la majorité des conservateurs et des libéraux aujourd’hui, les concepts de « classe » et en particulier celui de « lutte de classes » sont « idéologiques », ce qui ne veut rien dire de plus que « non-scientifiques ». En règle générale, c’est surtout à gauche que l’on utilise ces concepts. Il est important de rappeler tout d’abord que le « discours de classe » n’est en aucun cas spécifique à la contribution de Marx. Déjà avant lui, les historiens bourgeois parlaient de classes et de lutte de classes, et David Ricardo, le plus important représentant de l’économie politique classique, avait même dégagé que les trois grandes classes des sociétés capitalistes (capitalistes, propriétaires fonciers et travailleurs) avaient des intérêts fondamentalement opposés.
Traduction de l’allemand au français publiée dans Echanges et mouvement
C’était en 1975, Cajo, dans sa R4, était en route pour Paris. Il était accompagné de trois camarades communistes de conseils. Une pipe brûlante pendue au bec, tenant dans la main gauche un plan de Paris de 1938 (l’année où il s’était pour la première fois rendu à Paris) et sa main droite faisant de larges gestes, il était pris avec ses passagers dans une intense discussion. Plus tard, nous constaterions que le bouchon du réservoir à essence était resté sur une aire de repos en Belgique. Nous nous rendions tous à un congrès international de communistes de conseils. Cajo projetait de tenir pendant le congrès un discours qui n’avait pas été annoncé. Tout se déroula comme prévu. Lors de l’exposé d’un intervenant, Cajo se leva, et prononça pour le réfuter, dans un français parfait, un discours qui dura trois quarts d’heure.
Verblendungszusammenhang gegen politischen Aktivismus?
Spannung zwischen Theorie und Praxis anhand Michael Heinrichs Ansatz zur Interpretation des Kapitals
In seiner Antwort an Ernst Michael Lange behauptet Michael Heinrich, dass „die Diagnose des „Warenfetischismus » im Kapital keineswegs als Kritik an einer verkehrten Vergesellschaftung […], sondern als Kritik einer verkehrten Auffassung der vorliegenden Vergesellschaftung“[1] auftritt. Er gibt sich dabei der Kritik der Essentialisten, Antideterministen, und der Normativisten hin, der Verteidiger der „Empörung“ – verstanden als normatives und moralisches Gefühl, das zum politischen Aktivismus treibt. Daher ist es notwendig zu bestimmen, inwiefern Marx weder eine Trennung zwischen Weltveränderung und theorerischer Analyse des kapitalistischen Produktionsmodus operiert, noch die erste für die letzte voraussetzt. In dem Kontext einer erneuerten Bewegung der marxistischen Lesezirkel gewinnt dieser scheinbar rein hermeneutische Expertenkonflikt doch eine praktische Dimension, deren Implikationen weit über das Kapital selbst hinausführen.
In der Tat kritisieren die Vertreter einer eher klassischen Lesart von Marx an Michael Heinrichs Interpretation des Kapitals, dass in seiner Konzeptualisierung der Mensch nicht mehr als Akteur zu verstehen ist. Daher erschöpfe sich die Konflikthaftigkeit im Abstrakten und konkrete Auseinandersetzungen in Form des Klassenkampfes hätten keinen Platz mehr, weil eben alle gleichermaßen der Verblendung durch den Warenfetisch unterlägen. Karl Reitter zufolge überinterpretiere Heinrich damit die Marxsche Formel vom Kapital als automatischem Subjekt. Indirekt leiste Heinrich „dem Gerede vom Verblendungszusammenhang, hinter dessen düsterem Vorhang alle Klassengegensätze irrelevant werden, leider einen gewissen Vorschub“.[2]
Insofern wäre eine Analyse des Kapitals, die die Intentionen der Teilnehmer nicht einbringt, eine Ablehnung des Klassenkampfes, als ob die Folge davon wäre, „dass an den Agenten des Kapitals und ihrem Ausbeutungsgeschäft unter den gegebenen Eigentums- und Tauschverhältnissen eigentlich nichts zu kritisieren ist: Was sie treiben, ist nach den Regeln des Warentauschs absolut korrekt“.[3] Die heftige Debatte, die darauf folgt, bedarf unsere Aufmerksamkeit als politische Aktivisten und als theoretische Forscher. Notwendig ist es, auf verschiedene Ebene die Voraussetzungen und Implikationen dieser Debatte zu hinterfragen: auf einer historisch-theoretischen Ebene, auf eine textbezogene Weise, und auf einer praktischen Ebene.
Die Behauptung von Michael Heinrich lässt sich ebenso im Rahmen der Geschichte des Marxismus selbst verstehen, angesichts z.B. von Böhm-Bawerk, Lenin, Althusser oder Habermas. Eine Einschreibung in diesem theoretisch-historischen Zusammenhang wird daher notwendig, um zu begreifen, inwiefern Michael Heinrich auf einen „rohen Marxismus“ oder auf bestimmten Autoren antwortet.[4] Die Bestimmung der Gesprächspartner ist eine Voraussetzung, um die Natur der Kritik zu fassen und die Ebene der Argumentation nicht zu verwechseln.
Die Frage nach dem Verhältnis von Verblendungszusammenhang und automatischen Agenten ist die nach der revolutionären Praxis. Sie bedarf im Voraus eine Verteidigung durch den Text des Kapitals selbst. Aber nicht nur, weil das scheinbar kausale Verhältnis, das zwischen einer Behauptung des Verblendungszusammenhanges und politischem Aktivismus herrschen würde, noch auf eine andere Weise zu hinterfragen ist. Zugleich beruht das Postulat, demzufolge das Verständnis der Kapitalprozesse unabdingbar zu Weltveränderungsaspiration führt darauf, dass die „Idee der Weltveränderung“ nicht die Grundlage der marxistischen Theorie sei. Diese These muss auch die Tatsache nicht leugnen, dass Teilnehmer von „Kapital“-Lesegruppen doch schon selbst zumeist diese Idee der Weltveränderung voraussetzen.
Michael Heinrichs Interpretation des Kapitals schreibt sich in ein ganzes kohärentes System der Wissenschaftlichkeit ein, was zugleich dazu führt, dass man sowohl Essentialismus als auch Normativität nicht mehr als Waffen im Klassenkampf annehmen kann. Die Berücksichtigung dieser Tatsache angesichts der Frage nach dem Verhältnis von Theorie und verändernder Praxis, und nach den Subjekten der Transformation oder Revolution ist eine unvermeidbare Aufgabe des aktuellen politischen Aktivismus und wird Gegenstand des hier beschriebenen Vortrags.
[1] Michael Heinrich, Die Wissenschaft vom Wert, S. 373
[2] Karl Reitter, Kapitalismus ohne Klassenkampf? zu Michael Heinrich: Kritik der politischen Ökonomie. In: Grundrisse. 11, Herbst 2004, S. 26–34.
[3] Wie man „Das Kapital“ nicht schon wieder neu lesen sollte. In: GegenStandpunkt. 2/08
[4]In der Tat wiederholt der Autor, dass er unter Marxismus folgendes versteht: „What I’m talking about are those philosophical simplifications that are presented as “Marxism,” those mixtures of simple materialism, bourgeois ideas of progress, and vulgar Hegelianism which are presented as “dialectical materialism” and “historical materialism”“, in Je ne suis pas marxiste, Michael Heinrich, in Neues Deutschland, 24.01.2015.