Archives de catégorie : Théorie marxiste
ZUR THEORETISCHEN BEDEUTUNG DER „WERTFORM“ IM „KAPITAL“ VON KARL MARX , Masao Oguro
Arbeitsblätter zur Marx-Engels-Forschung Heft 18 Halle(Saale) 1986, ZUR THEORETISCHEN BEDEUTUNG DER „WERTFORM“ IM „KAPITAL“ VON KARL MARX ), Masao Oguro
Vorwort
Marx hat selbst im Vorwort zur ersten Auflage des ersten Bandes des ,,Kapitals » gesagt, daß das Verständnis der Analyse der Ware meiste Schwierigkeit machen wird. Aber das richtige Verständnis der ersten drei Kapitel des ,,Kapitals » und besonders und der Wertfornanalyse ist die grundsätzliche Voraussetzung, an wir konkrete Probleme, z.B. der Krise oder Inflation im den gegenwärtigen kapitalistischen Ländern oder die Rolle der Ware und des Geldes in der sozialistischen Gesellschaft usw. wissenschaftlich exakt erforschen wollen.
Das Problem der Geldbildung und seine Lösung im ,,Kapital“, Teinosuke Otani, 1989
Teinosuke Otani, (Beiträge zur Marx Engels Forschung 27/1989), Das Problem der Geldbildung und seine Lösung im ,,Kapital“
Bei der Untersuchung der Marxschen Überarbeitung des ersten Bandes des Kapitals » ist auch die Frage in den Mittelpunkt der Diskussion gerückt, in welcher Beziehung die Wertformanalyse, die Fetischismusanalyse und die Austauschprozeßanalyse stehen – und zwar insbesondere im Zusammenhang mit der Entstehung des Geldes. In Japan wurde schon in den fünfziger Jahren über diese Problematik heftig debattiert. Der verstorbene Samezo Kuruma, der wahrscheinlich in Europa als Herausgeber des 15bändigen ,,Marx-Lexikons zur politischen Ökonomie » bekannt ist, hat dieses Problem erforscht und 1957 sein Buch ,,Wertformanalyse und Austauschprozeßanalyse » publiziert. Seine soliden Interpretationen haben einen großen Einfluß auf die weitere Diskussion gehabt, und auch noch heute erwähnt fast die gesamte Fachliteratur seine Ansichten und äußert sich dafür oder dagegen. Es wäre also nicht überflüssig, hier, dem Kerngedanken von Kuruma1 zustimmend, den Inhalt jener drei Analysen sowie ihre Beziehungen zu behandeln.
Pourquoi revenir à Marx?, extrait de Critique de l’économie politique, Une introduction, Michael Heinrich
Pourquoi revenir à Marx? Michael Heinrich
La contestation sociale renaît. Les mouvements contestataires apparus lors des dernières décennies sont très diversifiés et sont, pour la plupart, critiques de la mondialisation. Les échanges lors du contre sommet de Seattle en 1999 ou encore de celui du G8 à Gênes en 2001 sont d’ores et déjà devenus les symboles du renouveau de la résistance contre le capitalisme. Cependant, c’est à présent aussi au-delà du cercle traditionnel de la gauche que les conséquences destructrices d’un capitalisme « débridé » sont discutées.
Ambivalences: Présentation de La science de la valeur, 2020
Ambivalences: Présentation de La science de la valeur
Dans La science de la valeur, Michael Heinrich retrace l’évolution de l’œuvre de Marx dans le cadre d’analyse du développement historique des sciences, la resituant ainsi par rapport à la science économique que ce dernier entend critiquer. Partant des concepts de « paradigme » (au sens de Kuhn) et de « méthodologie des programmes de recherche » (Lakatos), il propose celui de « champ théorique » afin de rendre compte de la nature de la geste marxienne pour l’économie. Ceci permet à Michael Heinrich d’appréhender le discours scientifique au niveau des suppositions implicites qui conditionnent la structure et la conceptualisation de son objet. Il met ainsi en évidence que le corpus marxien représente, avec ses phases d’évolution, une révolution épistémologique qui porte en elle de nouveaux concepts de science et de réalité. Et Marx opère une telle révolution en ce qu’il ne critique pas des théories isolées, mais bien la science économique dans son ensemble.
Une introduction à la théorie de la valeur de Marx, Charles Lugiery, 2017
Conséquences -Une introduction à la théorie de la valeur de Marx
Paru sur dndf
4 novembre 2017
Nous publions la présentation parue sur facebook d’une réunion tenue le 2 novembre dernier à Paris dans le cadre “Conséquences”
Abolir l’économie, une introduction à la théorie de la valeur de Marx
Il s’agira d’abord pour nous de proposer une introduction à la théorie marxienne de la valeur. Fruit d’un travail de plusieurs décennies dont un nombre extrêmement important de manuscrits en sont les témoins, la théorie marxienne de la valeur se présente sous sa forme définitive dans Le Capital.
Crisis Theory: A bibliography
Crisis Theory: A bibliography
Beyond Capital: Marx’s Political Economy of the Working Class – Lebowitz
*Open Marxism, 3 Vols. – Bonefeld, et al.
Theorizing the Long Crisis: 1973-Present: A bibliography.
Extracted from: mindcominpol
Theorizing the Long Crisis: 1973-Present
- The Failure of Capitalist Production: Underlying Causes of the Great Recession, Andrew Kliman
- Global Slump, David McNally
- The Economics of Global Turbulence: The Advanced Capitalist Economies from Long Boom to Long Downturn, 1945–2005, Robert Brenner
- “What is Good for Goldman Sachs is Good for America: The Origins of the Current Crisis,” Robert Brenner
- Global Crisis and Reproduction of Capital, Stavros Tombazos
On Crisis and Capitalis Circle : A bibliography [ENG]
Extracted from matcomindpol
- Marx’s Theory of Crisis, Simon Clarke
- The Law of Accumulation and Breakdown of the Capitalist System, Henryk Grossman
- The Permanent Crisis, Paul Mattick
- Economic Crisis and Crisis Theory, Paul Mattick
- Late Capitalism, Ernest Mandel
- The Capitalist Cycle: An Essay on the Marxist Theory of the Cycle, Pavel Maksakovsky
- “Surplus Alongside Excess: Uno Kozo, Imperialism and the Theory of Crisis”, Gavin Walker and Ken Kawashima – for an overview of Japanese Marxist debates on value and crisis
- The Sublime Perversion of Capital, Gavin Walker
- Theory of the Crash, Lucio Colletti (PDF available on request)
Le dernier Marx et le Capital, Michael Krätke
Texte de Michael R. Krätke paru dans Actuel Marx, No 37, premier semestre 2005, pp. 145 – 160, rédigé à l’occasion du 4e congrès International Marx à l’université Paris-Nanterre, 1er octobre 2004.
Selon une représentation populaire dont témoignent maintes biographies, Marx, sur ses vieux jours, ayant perdu toute capacité de travail, était en proie au désespoir. A ses plus proches amis, comme Engels, il disait faire des progrès, avancer dans son grand projet. De temps à autre, il annonçait que le Livre II du Capital serait bientôt prêt. En fait, il leur cachait le véritable état de ses manuscrits inachevés. Il était, il est vrai, presque constamment perturbé par la maladie. Et, en outre, souvent pris par des tâches politiques, celles du Conseil Général de l’Association Internationale des Travailleurs, la Première Internationale. D’un autre côté pourtant, après 1870, il n’avait plus les mêmes tracas financiers qui l’avaient hanté pendant plus de vingt années.
Salaire, Prix et Profit, présentation – résumé
Salaire, Prix et Profit, c’est un petit bouquin d’à peine 70 pages qui ne paie pas de mine. Et pourtant, c’est dans les grandes lignes de cet essai que Marx esquisse sa théorie de la valeur : toute la valeur vient du travail. Toute ? Toute ; pas un kopeck ne lui échappe. Certes, mais à quoi ça sert ? A démontrer que le salariat, qui ne rémunère que partiellement le travail, ne se distingue du servage et de l’esclavage que par sa forme historique. Comme mode d’exploitation, il est impossible pour un socialiste de prétendre l’améliorer : la seule alternative est son abolition.
On frétille d’avance de savoir comment Marx parvient en quelques pages à vaincre les démons réformistes et les trade-unions à courte-vue. Ce n’est pourtant pas si compliqué…
Etudes de marxologie – Sommaire
(Études de Marxologie – série S)
Numéros 1 à 19/20 (parus avant 1980)
- N° 1. – F. Perroux, Note. – M. Rubel, Liminaire. – M. Rubel, Les premières lectures économiques de Karl Marx (I). – K . Marx, Extrait des manuscrits économico-philosophiques (1844). – L. Von Bortkiewicz, Essai de rectification de la construction théorique fondamentale de Marx dans le troisième livre du » Capital « . – M. Rubel, Bibliographie marxologique – Théorie économique (I.) (1883-1914). Janvier 1959
Marx et le « marxisme »
Marx et le « marxisme »
Extrait de Critique de l’économie politique, une introduction, traduit par I.J.
Karl Marx (1818-1883) est né à Trèves dans une famille de la petite bourgeoisie intellectuelle, son père était avocat. Marx étudia le droit à Bonn et Berlin, mais surtout la philosophie de Hegel (1770-1831) alors dominante en Allemagne et celle des Jeunes Hégéliens (un groupe radical d’étudiants de Hegel).
Qu’est-ce que le capitalisme ?, extrait de Critique de l’économie politique, une introduction, Michael Heinrich
Extrait de Critique de l’économie politique, une introduction, Michael Heinrich
Traduit par I.J.
Les sociétés contemporaines sont traversées par de nombreux rapports de domination et d’oppression qui prennent différentes formes. On trouve des rapports de genre asymétriques, des discriminations racistes, d’énormes différences en termes de propriété avec une influence sociale correspondante, des stéréotypes antisémites, la discrimination de certaines orientations sexuelles. Quant à déterminer la manière dont ces rapports de domination s’articulent les uns aux autres et en particulier si l’un d’eux est plus fondamental que les autres, cela a fait l’objet de nombreux débats. Si par la suite les rapports de domination et d’exploitation d’origine économique seront au premier plan, ce n’est pas parce qu’ils seraient les seuls « valides ». Par ailleurs, on ne peut pas parler de tous en même temps. Dans la critique de l’économie politique de Marx, il s’agit en premier lieu des structures de la société capitaliste, c’est pourquoi elles sont au centre de cette Introduction. Pourtant, il ne faudrait pas s’abandonner à l’illusion qu’avec une analyse des fondements du mode de production capitaliste tout soit déjà dit au sujet des sociétés capitalistes.
Notes sur le développement de l’œuvre de Marx et son rapport à Hegel, 2020
Quelle est la nature du développement conceptuel qui a lieu chez Marx ? Quel est son lien avec la philosophie, notamment la logique, de Hegel ? Que nous dit Marx, de quoi parle-t-il et comment l’expose-t-il ?
L’œuvre de Marx a été interprétée par la social-démocratie de l’Empire, de même que par les partis qui naquirent de la 3ème Internationale, comme un développement plus ou moins linéaire et cumulatif. Le développement de la théorie marxienne est le chemin allant vers la formation de la doctrine finale : la lutte contre des erreurs originelles et les travaux économiques allaient culminer dans le Capital, son zénith et sa fin.
Geld und Kredit in der Kritik der politischen Ökonomie, Michael Heinrich, 2003
Geld und Kredit in der Kritik der politischen Ökonomie, Michael Heinrich
in: Das Argument 251, 2003, S.397-409
Article sur le site de Michael Heinrich
Vor dem Hintergrund internationalisierter Finanzmärkte, häufiger werdenden Währungskrisen und Crashs an den Aktienmärkten besitzt die Diskussion über Geld und Kredit eine unmittelbar politische Aktualität. Der neoliberale Ruf nach Deregulierung der Märkte ist zwar keineswegs verstummt, doch wird bereits über eine Re-Regulierung diskutiert. Großen Teilen der globalisierungskritischen Bewegungen erscheint die Bändigung der Finanzmärkte als der entscheidende Hebel für die Zähmung des „entfesselten Kapitalismus“. Geld- und kredittheoretische Fragen betreffen also nicht bloß Fachökonomisches, verhandelt werden vielmehr die spezifischen Vergesellschaftungsweisen im gegenwärtigen Kapitalismus.
Zu viel Produktion. Postones Neuinterpretation der Marxschen Theorie leistet eine kategoriale Kritik mit Defiziten, Michael Heinrich, 2004
Zu viel Produktion. Postones Neuinterpretation der Marxschen Theorie leistet eine kategoriale Kritik mit Defiziten, Michael Heinrich
in: Jungle World 29, 7. Juli 2004
Moishe Postone hat ein gewichtiges Werk zu zentralen, kategorialen Fragen der Marxschen Ökonomiekritik vorgelegt. Dabei handelt es sich keineswegs um eine bloß akademische Übung. Fluchtpunkt auch noch seiner abstraktesten Erörterungen ist die Frage, wie die Umbrüche des gegenwärtigen Kapitalismus zu analysieren sind.
Postones Kritik richtet sich zunächst gegen den „traditionellen“, in der Arbeiterbewegung vorherrschenden Marxismus, für den Ausbeutung, Klassenherrschaft und vor allem eine positiv verstandene proletarische Arbeit, die, vom Kapital unterdrückt, sich im Sozialismus endlich verwirklichen sollte, zentrale Bezugspunkte waren. Dieser Marxismus sei nicht nur für die Analyse ungeeignet, auch dessen Sozialismuskonzeption, die lediglich auf eine Veränderung der Eigentumsverhältnisse zielte, nicht aber auf eine grundlegende Umwälzung der Produktionsweise, biete keine wirklich emanzipatorische Perspektive.
Werttheorie, Profitratenfall und Traditionsmarxismus, Michael Heinrich, 2004
in: trend onlinezeitung 09/04
In den Ausgaben von 06/04 und 07/04 von trend wurden meine Auffassungen zur Werttheorie und zum Profitratenfall, die ich in der „Wissenschaft vom Wert“ (3. Aufl., Münster 2003) vertreten habe, von verschiedenen Autoren kritisiert (vgl. Daniel Dockerill in 06/04, Karl Müller im Editorial von 07/04, Robert Schlosser in einem Exkurs seiner Postonekritik in 06/04, und in einem Text zum Profitratenfall in 07/04). Gemeinsam ist den genannten Beiträgen ein Verständnis der Marxschen Theorie, das von mir und von anderen als „traditioneller Marxismus“ kritisiert wurde. Die Auseinandersetzung mit meinen Kritikern ist daher auch eine mit dem Traditionsmarxismus.
David Ricardo, Karl Marx et l’antagonisme nécessaire des intérêts de classe, Mathieu-Joffre Lainé [THESE]
David Ricardo, Karl Marx et l’antagonisme nécessaire des intérêts de classe, Mathieu-Joffre Lainé, 2017
La théorie de la valeur-travail élaborée par l’économiste anglais David Ricardo (1772-1823) a rapidement été mise à profit par les théoriciens socialistes afin de démontrer l’iniquité du salariat et pour donner une base à un système socialiste de production et d’échange ; Karl Marx (1818-1883) l’a subséquemment développée à titre d’explication de l’ensemble du processus de la production capitaliste, il en a fait le principe de la lutte des classes. Rédigée dans une perspective contextualiste, cette thèse vise donc à démontrer minutieusement, par la théorie et par l’histoire à la fois, que Marx emploie intentionnellement la théorie économique ricardienne dans le Capital afin de convaincre son premier public, principalement composé des membres de l’école historique d’économie politique allemande (« Historische Schule der Nationalökonomie »), de l’antagonisme nécessaire des intérêts de classes.
Le pouvoir social de la monnaie, Michael Heinrich, 2002 [ARTICLE]
Article paru sur le site agitationautonome.
Traduction d’un article de Michael Heinrich paru initialement dans le numéro de janvier/février 2002 de Blätter des iz3w Freiburg. L’auteur y traite de la conception marxienne de la monnaie, ce qui est l’occasion d’une confrontation avec la théorie économique néoclassique et la théorie keynésienne. Selon Heinrich, ces deux théories ont le défaut de concevoir la monnaie comme un simple moyen auxiliaire, ce qui les fait passer à côté du pouvoir réel de cette forme sociale particulière.